11- La qualité de Dieu " le plus haut " et les orientations de l’univers (8/11)
Quant à l’épaisseur du monde planétaire de l’avant vers l’arrière, elle ne peut pas être inférieure à la distance entre la galaxie la plus lointaine du côté du pôle Nord de notre planète et la galaxie la plus lointaine du côté du pôle Sud, mais cela seulement dans le plan horizontal dans lequel sont notre terre et notre galaxie à ce moment, c’est-à-dire leur niveau dans l’anneau terrestre. Chacune d’elles gravite autour d’elle-même et autour d’autres. L’épaisseur du bord externe de l’anneau d’avant en arrière, qui ne cesse aussi de croître, est égale à la racine carrée de trois l’épaisseur de son bord interne comme nous le verrons dans les parties terminales de ce livre. Nous démontrerons également que le champ de vision de l'homme avec tous ses moyens techniques ne s’étend pas vers les limites avant ou arrière de l’anneau terrestre (paragraphe 29a). Ces frontières sont plus loin de lui que le centre du monde qui lui est interdit de voir. Il en est de même que les terres qui existent entre lui et ce centre.
Notre planète est éloignée du centre de ce centre d’une distance égale au plus (car nous ne sommes pas au sommet de l'anneau terrestre, mais entre celui-ci et son bord interne) à 1/3,46 de la distance entre l'avant et l’arrière de l’anneau, moins d'un tiers à-peu-près. L’avant et l’arrière sont dans les directions des pôles de la terre (voir les détails des calculs 18). Autrement dit, si vous pouvez mesurer, par exemple, à partir du pôle Nord ou Sud la distance qui nous sépare de la galaxie la plus éloignée, et cela est impossible, le centre du monde, qui ne peut jamais être vu comme nous le verrons, se trouve à 2/3,46 de cette distance (presque ses deux tiers). Notre planète est exactement au milieu entre l’avant et l’arrière de l’anneau terrestre parce que notre secteur spatial se trouve exactement sous la maison emplie du septième ciel comme nous le verrons. Et la direction du centre du monde est au-dessus de nos têtes la nuit quand la terre est dans sa position la plus basse dans son orbite. De là, nous pouvons voir au maximum la galaxie la plus éloignée au-dessous de nous, près du bord interne de l’anneau terrestre, au-dessous duquel il y a un « vide « immense de cinq cents ans. C'est un monde qui nous est interdit de voir ce qu'il contient. Quant à la lumière des galaxies de la deuxième terre par exemple, elle n'atteint pas la première terre car sa vitesse est trois fois inférieure à celle de la lumière dans cette première terre. Il en est de même de la différence de taille des galaxies, ajoutez à cela l’épaisseur immense de l’inter monde entre les deux terres. Nous verrons que dans les sept terres, il y a des sosies identiques ou créatures similaires. Et tous leurs gens, s'ils voyaient le centre de l’univers, ils se verraient loin de lui du même nombre d'années-lumière. Mais l'année-lumière augmente quand on s’élève d’une terre à celle qui est au-dessus. Par exemple, dans la première terre, elle est 902,50 fois plus grande que celle dans la septième terre (voir Calculs 18a).